#Etape 2
Quatre sénateurs, soutenus par des dizaines de sénateurs co-signataires des amendements présentés, ont défendu haut et fort, et publiquement dans l’hémicycle, le droit des citoyens à être informés sur les pesticides dans leurs aliments !
C’est une très belle reconnaissance et, surtout, l’expression de la volonté des citoyens au coeur de nos institutions.
Pour ceux d’entre vous qui ont Facebook, vous pouvez consulter les prises de parole de ces quatre sénateurs sur la page Pour la transparence sur les pesticides dans les aliments.
La suite ?
La prochaine étape va être l’examen du projet de loi Agriculture et Alimentation en commission mixte paritaire (c’est à dire qu’Assemblée nationale et Sénat, les deux chambres du Parlement, se réunissent pour voir si elles arrivent à se mettre d’accord sur une version unique du projet de loi à l’étude).
Comme il y a de fortes chances qu’elles n’arrivent pas à se mettre d’accord, nous aurons une nouvelle occasion de pousser pour la prise en compte de nos revendications lors d’une nouvelle lecture à l’Assemblée, probablement dès mi-juillet !
#Etape 1
Des sénateurs ont déposé les amendements pour assurer l’information des consommateurs sur les pesticides dans leurs aliments !
Après un travail pour reformuler les amendements issus de la pétition, j’ai contacté des sénateurs et leurs collaborateurs parlementaires pour leur expliquer à quel point il était urgent d’inscrire dans la loi la transparence sur les pesticides dans nos aliments.
Plusieurs d’entre eux ont été favorables à la démarche et ont décidé de porter les amendements pour l’information des consommateurs sur les pesticides dans leurs aliments !
Jusqu’à mardi, nous avons donc une fenêtre pour exercer notre pouvoir de citoyen en contactant nos sénateurs. Vous pouvez nterpeller directement vos sénatrices et sénateurs sur http://lobby-citoyen.fr/transparence-pesticides/.
Cette aventure citoyenne a intéressé Denis Cheissoux de France inter, qui m’a interviewée dans son émission du samedi 23 juin !
Et ensuite ?
Après le passage au Sénat, le texte fera l’objet d’une discussion en Commission mixte paritaire (les deux chambres, Assemblée nationale et Sénat, tenteront de se mettre d’accord sur le texte) puis, en fonction des échanges, il reviendra une ultime fois à l’Assemblée nationale, peut-être dès juillet.